Le maître secret du NOM

Le maître secret du NOM

De nombreux ouvrages ou articles ont déjà largement informé le public d’une grande menace qui pèse aujourd’hui sur le monde, à savoir l’instauration d’un gouvernement mondial sur Terre. Nous savons ainsi que l’édification de ce gouvernement suit un plan minutieux dont chaque étape nous rapproche un peu plus de l’échéance finale. Nous connaissons également la nature infernale de ce nouvel ordre mondial démo(n)cratique, dont la légitimité s’imposera à la suite d’une grande catastrophe. Experte dans la manipulation des masses, cette dictature mondiale montrera son vrai visage une fois qu’elle sera en mesure de contrôler chaque individu physiquement et mentalement. Ce contrôle se fera avec l’implantation, d’abord volontaire, puis obligatoire, d’une puce électronique dans le corps de chaque être humain. Si nous savons beaucoup sur ce plan ténébreux, il reste néanmoins une question cruciale en suspend : qui sera le futur dirigeant du Nouvel Ordre Mondial officiellement annoncé depuis 1979 par l’ex-Président de la République, Valéry Giscard d’Estaing, puis par Bush père un certain 11 septembre 1992. (voir la petite vidéo du discours de Bush père dans notre cédérom). Il se comprend aisément qu’il ne peut y avoir un système gouvernemental unique de cette ampleur, sans un leader exerçant son pouvoir avec une autorité hors du commun. Ce dont le plus grand nombre ne peut se douter, c’est que ce chef tout-puissant existe déjà de longue date et que de grandes nations, tels les USA en tout premier lieu, fébrilement maintenant, s’activent à préparer les conditions propices à sa gouvernance.

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> Retrouvez cet article dans le TOP SECRET N°18

Ce chef, et c’est là un scoop absolument véritable, c’est Apollon !

Est-ce que l’humanité de ce début du XXIe siècle sait qui est Apollon, mis à part quelques spécialistes en mythologie et des ésotéristes avertis ? Sûrement pas… Pour la majorité de nos contemporains, l’évocation d’Apollon rappelle l’image folklorique d’une époque révolue où les hommes croyaient naïvement en un Olympe du haut duquel les dieux faisaient de l’ingérence outrancière dans les affaires humaines. C’est, semble-t-il, hautement réducteur.

En effet Apollon est loin d’être une icône archaïque, née de l’imagination des hommes, et tombée en désuétude au fil des siècles devant le succès grandissant des religions monothéistes. Contrairement à ce que nous pourrions imaginer à son sujet, Apollon est encore très présent et influence secrètement le destin de l’humanité. Pour s’en convaincre, il suffit d’observer tous les symboles le représentant dans les administrations, les institutions, les bâtiments publiques… Soleil, aigle, étoile, etc, il suffit d’ouvrir les yeux pour se rendre compte de son omniprésence, et pour convenir que celle-ci ne doit rien au hasard.


Qui est Apollon ?

Pour identifier et comprendre qui est Apollon, il faut puiser plus spécifiquement au Mythe grec. Et, il faut tout d’abord, admettre que les mythes sont l’expression relatée, à peine romancée, d’une réalité historique qui défraya la chronique des temps antiques au cours desquels des êtres anthropomorphes surhumains venus du cosmos s’employèrent à gouverner certaines civilisations. De même le récit de la première partie de la Bible relate d’une façon plus ou moins romancée et édulcorée l’histoire authentique de l’humanité à une époque où celle-ci cohabitait avec ses créateurs, les Elohims, considérés comme des Dieux par les peuples archaïques et qui correspondent en réalité exactement à la définition que nous nous faisons aujourd’hui des extraterrestres…

En outre, certains passages et une lecture attentive du Nouveau Testament, nous permet d’imaginer que ces êtres extraterrestres qui vinrent du ciel sur Terre sont des rebelles envers l’Ordre Cosmique Primordial et qu’ils ont fait sécession. Faisant de la Terre leur planète de prédilection, ils y ont instauré un contre-pouvoir qui perdure de nos jours encore à l’insu et au détriment de l’humanité. Si les comptes-rendus des mythes ancestraux relatent que ces êtres extraterrestres nous ont créé à leur image, ils n’en reste pas moins qu’ils sont d’une nature biologique différente de la nôtre. Cette différence biologique n’empêche cependant pas une certaine compatibilité génétique, puisque le livre de la Genèse et les écrits de Sumer affirment que les « dieux » ou les « ËLohïm » copulèrent avec des terriennes et qu’elles en eurent des enfants de très grande taille qui furent les héros de l’antiquité ; conséquence de l’apport génétique de la race extraterrestre des Titans.

Ce fut l’époque du « temps des géants ». Selon ce que les Mythes nous en apprennent, leur longévité n’était pas illimitée, mais pouvait être plusieurs fois millénaire. C’est la raison pour laquelle les Grecs anciens les appelèrent « immortels ». Les mêmes sources de renseignement les concernant énoncent qu’ils détenaient un secret de longévité que les Grecs appelèrent Ambroisie, les Indous Soma et la Genèse de la Bible « le fruit de l’arbre de vie », « fruit » dont la « consommation » était interdite aux hommes. à notre époque, les scientifiques qui décryptent le génome humain espèrent détecter le gène de longévité et sans doute déterminer l’anomalie qui limite à court terme la vie de l’homme…


La nature véritable des « Dieux »

Afin que les choses soient bien claires, et puisque plus de 70 % d’occidentaux se disent chrétiens, il me semble nécessaire de leur remémorer ce que le Nouveau Testament révèle de ces extraterrestres devenus terriens : « Le monde est soumis à la puissance du malin ». En toute logique, nous pouvons donc déduire de cette sentence que DIEU ne règne pas sur le genre humain. La Terre serait donc pour le moment encore gouvernée par cette « Puissance du Malin », ces extraterrestres autrement appelés « anges déchus », ce qui explique l’état de mal, de souffrance et de mort qui caractérise l’existence des êtres humains. La synthèse des mythes fait également apparaître que les appelés « dieux », décidèrent presque brusquement et pour une raison qui serait trop longue à expliquer ici, de quitter la surface de la Terre. Ce départ se fit en deux temps semble-t-il, car le continent américain, isolé du reste du monde, fut vraisemblablement déserté quelques siècles plus tard. Comme le précise le mythe grec en évoquant les allées et venues qu’Apollon effectuait par la voie aérienne de son temple de Delphes à l’Hyperborée (l’ésotérisme situe l’accès à l’Hyperborée au pôle géographique nord), il semble qu’Apollon fut le dernier des « Sept Grands-Dieux » Olympiens à aller et venir visiblement à travers le ciel en Europe. Sa biographie est de ce fait la mieux connue.

Biographie d’Apollon

Apollon naquit dans l’île de Délos des amours physiques de Zeus, le « roi du monde » à cette époque que les Romains appelaient Jupiter (Jovis), avec une « déesse » de second rang connue sous le nom de Latone (ou Lêto). Les oracles le concernant à sa naissance dirent de lui qu’il serait orgueilleux et qu’il prétendrait à l’Empire des « dieux ». Il était prompt à s’irriter et, il exécutait de terribles vengeances. Dès l’origine, il fut surnommé “glorifiquement” Phoebus Apollon (Apollon- Soleil). Ayant hérité d’un arc et d’une lyre à 7 cordes, il se rendit par eux célèbre comme un chasseur et un musicien émérite.

Sa jeunesse fut tumultueuse. Lorsque eut lieu la guerre des fils et des filles des « dieux » Titans (les Olympiens) contre leurs ancêtres pour la domination du monde, Apollon apporta son aide aux Olympiens, ses oncles, tantes et cousins. Quoi que « demi-dieu », il fut admis à régner conjointement avec eux dans leur Assemblée. Il fut consacré par eux « sauveur des dieux » et bénéficia d’une position privilégiée. Assez rapidement, il choisit d’ériger son temple à Delphes et y organisa son culte qui fut rendu universellement célèbre par les oracles qui y étaient délivrés par une prêtresse qualifiée de « Pythie ». A noter que ce nom découle de Python, de serpent. Raison associative qui le fit, entre autres surnoms, appeler : « Apollon-Phytien ». Indication qui sous-entend la nature occulte de son obédience. Il fut encore surnommé « le dieu des oracles » et Delphes devint la capitale des Oracles qui drainait vers elle une foule de quêteurs, même de contrées lointaines.

Apollon commit plusieurs meurtres et s’opposa à son tour un jour à son père qui le punit sévèrement. Il se rendit encore célèbre en compagnie de son oncle, Poséidon, le « roi de la mer » (un Titan) en construisant un mur de protection de Troie pour le travail duquel il exigea un contrat du roi Laomédon. La violation de ce contrat le rendit furieux et Poséidon et lui détruisirent le mur en une nuit, son oncle ayant fait surgir de la mer un « monstre marin » dont la description fait d’ailleurs curieusement penser à une énorme machine.

Le résultat fut la prise de Troie par Héraclès.

Comme Arès, Apollon fut un « dieu » guerrier. Mais aussi un civilisateur. à ce jour, il est secrètement honoré et glorifié par la Franc-Maçonnerie sous l’aspect symbolique d’une étoile à cinq branches au centre de laquelle figure la lettre « G » qui le détermine comme « Géniteur » (Génitor). Son culte était philosophique et gnostique.

Juin, le mois des Gémeaux lui fut consacré. Le syncrétisme des mythes grecs et égyptiens établit une relation indiscutable entre Apollon et l’Horus du panthéon égyptien. Il se fit craindre des humains plutôt qu’aimer. Il admit les sacrifices de vies d’animaux; surtout des chèvres. Par contre, dans son île natale à Délos, aucun animal n’était sacrifié. On y apportait des offrandes en nourriture.

Apollon devint l’assesseur bien-aimé de Zeus qui partagea avec lui ses secrets et pouvoirs. Il les lui conféra par la suite et, à son tour, de « prince du monde » il en devint le Roi. L’évangile en évoquant l’existence sur Terre d’une domination injuste et diabolique, l’évoqua en tant que « prince de ce monde » .

« Maintenant a lieu le jugement de ce monde ; maintenant le prince de ce monde sera jeté dehors. » (Jean 12: 31) « Je ne parlerai plus guère avec vous; car le prince du monde vient. Il n’a rien en moi; » (Jean 14: 30) « Le jugement, parce que le prince de ce monde est jugé. » (Jean 16: 10).


Apollon devient le Dieu des Dieux

Les Jeux Olympiques furent originellement dédiés à Zeus. Puis ils furent re-consacrés à Apollon en l’an 590 avant notre ère. Comme pour les J.O. modernes qui lui sont donc consacrés, ils avaient lieu tous les quatre ans. à celui de 590, il fut ajouté aux épreuves physiques des épreuves pour joueurs de flûte et gymniques. Les prix attribués étaient des objets d’art et d’argent, puis ils devinrent des fruits consacrés à Apollon, telle la Pomme.

Les J.O. de l’an 17 avant J.C. constituèrent pour Apollon à Rome une apothéose. Le troisième jour, on offrit de nombreux sacrifices de vies devant sa statue et celle de Diane (sacri faciundi); tandis qu’un double chœur chanta « l’Hymne triomphal d’Horace ».

Son culte déborda de la région de Grèce et s’étendit en passant par la Gaule jusqu’en Angleterre. De nombreux sites de France lui ont été dédiés et certaines villes ou villages portent son nom ou en dérivent selon la langue de l’époque : Lug, Abellio. Et la Gaulle se couvrit de temples dédiés à ce « dieu » qui fut souvent confondu et assimilé à Mars (Arès), de même, en second lieu, à Mercure (Hermès).

Apollon en Grèce

Si l’on en croit Virgile, le culte d’Apollon aurait été introduit au Latium par Enée, fils de Priam, après la chute de Troie, c’est-à-dire déjà vers 1300 avant J.C. Le culte d’Apollon devint l’un des principaux de la Rome païenne, avec celui de Diane (Artémis), sa sœur.

Sa statue, qui fut appelée « Apollon du Belvédère », fut introduite au Vatican par le pape Jules II.

La Tradition grecque rapporte qu’à chaque fin d’automne, Apollon s’envolait de Delphes sur son « char de plumes » (indication symbolique de légèreté de vol de son ovni) ou sur sa « flèche d’Or » (assimilable à une fusée). celle des habitants du Pont-St.Euxin rapporte qu’ils le voyaient passer au-dessus d’eux, allant vers le Nord ou en revenant au printemps vers Delphes.

Selon la chronologie historique qui évoque le statut directorial des « dieux » Olympiens, Apollon fut le dernier des SEPT à régner avant J.C. Comme tous les autres, il finit par se retirer dans le monde souterrain qui semble devoir être assimilé à cette fameuse Hyperborée où la Tradition grecque dit qu’il y règne un éternel printemps et que l’on ne peut atteindre ni par terre ni par mer.

Ne serait-ce pas le fameux et hypothétique « sixième continent » qui fut entrevu du ciel par l’Amiral Byrd au cours d’un vol historique effectué au-delà du cercle polaire au milieu du siècle dernier ? Expérience involontaire dont le compte-rendu fut rapidement couvert par les autorités…

Il y aurait encore beaucoup à dire sur Apollon. Cette courte synthèse tirée d’ouvrages sérieux et rares le concernant spécifiquement a pour but d’introduire le lecteur à la prise de conscience qui s’impose à l’approche d’évènements gravissimes d’ordre humain qui doivent favoriser son retour parmi les hommes.

Apollon : l’antéchrist ?

Il semble judicieux d’exposer succinctement ce qui devrait très prochainement advenir. Cette révélation découle de la synthèse qui peut être faite des prophéties du Nouveau Testament. Dans celui-ci, le Christ a bien annoncé sa Parousie, mais aussi et avant tout le retour préalable d’Apollon qu’il taxa d’Antéchrist et d’Impie (1 Jean 2 : 18 / 4 : 3, 4 / 2 Thessaloniciens 2 : 1-12). Le terme « antéchrist » signifie « celui qui doit venir avant le retour du Christ ». Non comme précurseur de même obédience, mais comme adversaire.

L’antéchrist ne vient pas pour apporter le bonheur et la paix aux hommes, mais pour leur imposer sa dictature à l’échelle mondiale, car il sait, de même que les autres « dieux », que le temps de leur domination perverse arrive à son terme. Pour empêcher cette échéance, les extraterrestres rebelles (les anges déchus) ont besoin d’utiliser l’humanité, telle une armée de clones ou de robots biologiques, pour combattre à leur place l’armada qui arrive pour mettre un terme à leur règne.

Cette participation massive de l’humanité à cette guerre implique aussi une préparation, une familiarisation des hommes à la technologie de pointe et à certains concepts modernes. Ceci expliquerait alors l’accéléra-tion ultra-rapide et les progrès technolo-giques fulgurants qu’a connus l’humanité au

cours des dernières décennies. Progrès dont

certains disent que les extraterrestres ne sont d’ailleurs pas totalement étrangers.

Or, Apollon ne peut parvenir à cette prise de pouvoir ultime qu’en se manifestant ostensiblement, comme autrefois avec les Grecs. Du reste, certaines grandes nations préparent consciemment sa dictature (Apocalypse 17 : 12-14), mais plus ou moins en secret, sous le couvert fallacieux de slogans de fraternité, de démocratie et de paix universelle. Pour Apollon et ses malfrats cosmiques, il est primordial que l’humanité se soumette librement car il sera alors plus facile de fédérer les armées et d’utiliser les industries de pointe qui produiront les armes appropriées pour défendre la Terre contre l’armada divine qui doit éradiquer leur domination.


Le texte de l’Apocalypse

Le Nouveau Testament révèle ce à quoi l’humanité doit s’attendre en un temps qui serait celui de la fin du présent système de chose à l’apparition, puis à l’immixtion parmi elle d’Apollon qu’il désigna sous le vocable « d’ange de l’abîme » (du monde souterrain). Voir à ce sujet : Apocalypse 17 : 8, 11 / 9 : 11 / 2 Thessaloniciens 2 : 1-12 / 1 Jean 2 : 18 / 1 Jean 4 : 3,4.

Selon ce que le chapitre 9 du livre de l’Apocalypse révèle, sa sortie du monde souterrain sera inopinée et succédera immédiatement à l’impact avec la Terre d’un objet céleste important à un endroit précis où se situe le « puits » qui y conduit « Le cinquième ange sonna de la trompette. Et je vis une étoile qui était tombée du ciel sur la terre. La clef du puits de l’abîme lui fut donnée », (Apocalypse 9 : 1) Le « puits de l’abîme » se trouve au pôle non loin de la Sibérie qui vécut déjà la catastrophe de Tungunska en 1907.

“Elles avaient sur elles comme roi l’ange de l’abîme, nommé en hébreu Abaddon, et en grec Apollyon”. (Apocalypse 9 : 11)

Le texte de l’Apocalypse le nomme Apollyon, ce qui est un « jeu de mot » grec qui signifie « le destructeur » (comme dans Eschylle, Agamemnon, verset 1081). Au chapitre 17, afin de permettre de bien savoir que l’Antéchrist est APOLLON, le texte révèle qu’il était du nombre des « SEPT » (grands dieux Olympiens), qu’il était visible autrefois, qu’il ne l’est plus, mais qu’il va reparaître et que lorsqu’il sera reparu il sera lui-même de ce fait un huitième régnant.

« La bête que tu as vue était, et elle n’est plus. Elle doit monter de l’abîme, et aller à la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n’a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s’étonneront en voyant la bête, parce qu’elle était, et qu’elle n’est plus, et qu’elle reparaîtra. » (Apocalypse 17 : 8).

“Et la bête qui était, et qui n’est plus, est elle-même un huitième roi, et elle est du nombre des sept, et elle va à la perdition.” (Apocalypse 17 : 11)

Après qu’il sera apparu et se sera imposé aux nations, l’Apocalypse ch.19 révèle (versets 11 à 19), qu’il fédérera les armées et les fera équiper par sa science et l’industrie humaine d’armes anti-spatiales destinées à faire échec à l’armada extraterrestre revenant du cosmos avec de gigantesques vaisseaux.

Il gouvernera l’humanité pendant quelques temps avec une main de fer, ôtant même aux humains l’usage de leur libre arbitre par l’imposition universelle de sa « Marque » (intradermique) qui sera monétaire, électronique, identificatrice (Apocalypse 13 : 14-18). Le verset 20 annonce qu’il sera finalement capturé et réduit au silence.


Conclusion

Le texte de cette exégèse peut sembler aberrant, farfelu, mais il ne peut l’être que pour celui qui n’a d’autre type de pensée que celui qui découle du conditionnement mental que la civilisation matérialo-intellectualiste génère dans le grand public, ce qui l’éloigne de la compréhension exhaustive que le lucide se doit d’avoir des choses et des évènements fondamentaux qui, justement, la conditionnent à son insu et la conduisent vers un avenir peu enviable, contrairement aux apparences. Cette prise de conscience s’avère individuellement salutaire, car elle permettra à quiconque y parvient de se déterminer le moment venu face aux évènements. Ce choix ultime sera posé à chacun lorsque Apollon (ou quelque soit le nom derrière lequel il se cachera) imposera à tous les habitants de la planète sa « marque » d’inféodation et d’infamie. D’ores et déjà, il est compréhensible par ce qu’il nous est donné d’analyser à travers l’actualité que cette marque sera la « Micro-Bio-Ship » intradermique. Un « transpondeur » de la taille d’un grain de riz qui est interrogeable à distance, même par satellite.

Il y a 2000 ans le texte de l’Apocalypse nous a fait savoir ce que serait la « Marque de la Bête ».

« Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. » (Apocalypse 13 : 16-18)

Selon ce qu’il nous a déjà été donné de constater, la description correspond assez bien à la « Micro-Bio-Ship » dont on nous dit de plus en plus clairement qu’elle sera un jour prochain la « nouvelle monnaie » devant résoudre tous nos problèmes…définitivement…

Michel Girard

 

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