Les ovnis de la Bible

Les ovnis de la Bible

La lecture attentive de la Bible nous apprend que les « anges » et les « dieux » utilisaient pour se mouvoir dans l’univers spatio-temporel des vaisseaux spatiaux dont la description ressemble étrangement aux récits d’observation d’ovni rapportés de nos jours par les témoins.

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Notre science, toujours infatuée d’elle-même, quoi qu’elle n’ait que deux cents ans d’âge environ, rétorquera que cela est impossible technologiquement. Mais que peut savoir la Science humaine moderne de celles de civilisations de l’espace qui vinrent du cosmos sur la Terre voilà des millénaires ? Il est vrai qu’elle nie qu’il en fut ainsi… Question d’orgueil qui pousse l’homme scientifique à prétendre que les terriens sont uniques dans l’univers qui compte pourtant des milliards de galaxies et des centaines de milliards de planètes dont beaucoup sont bien plus anciennes que la Terre…

De nombreux textes bibliques attestent de l’existence des ovnis qui furent diversement nommés dans les temps anciens selon les civilisations. Ils furent appelés dans la Bible « Nuée » (le jour) ; « Nuée Lumineuse » (la nuit -à cause de la luminescence ionisée de la structure-) ; « Colonne de Nuée » ; « Colonne de Feu », (à cause de l’ionisation rougeoyante de sa structure) ; « Tourbillon », (à cause de la rotation rapide des structures extérieures circulaires observées à de très nombreuses reprises depuis 1947) ; « Cherubin » (Racine Perse : K-h-Rb qui donna Kéroub, Caroube en Bretagne, Carib, Cariba à Cuba, et Caraïbe en Amérique du sud ; « Roue » (engin circulaire important en forme de roue comportant des « rayons ») ; « Palais » ; « Trés-Haut » ; « Tente » ; « Splendeur » ; « Vimânâ » ; « Perles du Ciel » ; « Aigles », « Frelon », (à cause du bruit de certains), etc.

Parmi les évènements rapportés dans la Bible, deux d’entre eux évoquent avec beaucoup de réalisme l’atterrissage spectaculaire de deux grands vaisseaux spatiaux. Le premier fut l’arrivée au sommet du Mont Sinaï du grand vaisseau-amiral de Yahwé par ailleurs surnommé le « Très-Haut », car s’y tenant en général au-dessus des Hébreux. Le second fut ultérieurement la venue près du fleuve autrefois nommé Kebar d’une grande « Roue » accompagnée d’autres engins très véloces et lumineux que dépeignit Ezéchiel qui en fut le témoin (ch. 1).

Quiconque a vu le film « Rencontre du 3ème Type » de Spielberg se fera une idée correcte d’un tel évènement. Je n’évoquerai en détail que l’arrivée de Yahwé au Sinaï, pour ne pas allonger cette rédaction inutilement.


Les ovnis de l’Exode

à leur départ d’Egypte, les Hébreux furent manifestement guidés jour et nuit par un engin aérien cylindrique que nous avons appelé de nos jours « Cigare », à cause de sa forme. En témoigne cette citation qui illustre parfaitement bien comment Yahvé, à bord de son ovni, guidait le peuple hébreu dans le désert :

« Le jour où le tabernacle fut dressé, la nuée couvrit le tabernacle, la tente d’assignation ; et, depuis le soir jusqu’au matin, elle eut sur le tabernacle l’apparence d’un feu.

Il en fut continuellement ainsi : la nuée couvrait le tabernacle, et elle avait de nuit l’apparence d’un feu. Quand la nuée s’élevait de dessus la tente, les enfants d’Israël partaient ; et les enfants d’Israël campaient dans le lieu où s’arrêtait la nuée. Les enfants d’Israël partaient sur l’ordre de l’Éternel, et ils campaient sur l’ordre de l’Éternel ; ils campaient aussi longtemps que la nuée restait sur le tabernacle. Quand la nuée restait longtemps sur le tabernacle, les enfants d’Israël obéissaient au commandement de l’Éternel, et ne partaient point. Quand la nuée restait peu de jours sur le tabernacle, ils campaient sur l’ordre de l’Éternel, et ils partaient sur l’ordre de l’Éternel. Si la nuée s’arrêtait du soir au matin, et s’élevait le matin, ils partaient. Si la nuée s’élevait après un jour et une nuit, ils partaient. Si la nuée s’arrêtait sur le tabernacle deux jours, ou un mois, ou une année, les enfants d’Israël restaient campés, et ne partaient point ; et quand elle s’élevait, ils partaient. » (Nombres 9 : 16-22)

Les Hébreux appelèrent l’engin aérien selon le concept de leur évolution « Colonne de Nuée », le jour, et « Colonne de feu » la nuit, à cause de la luminosité rougeoyante d’ioni-

sation qui émane de sa structure, nous le savons maintenant grâce aux milliers de témoins contemporains qui ont pu observer ce phénomène sur toute la planète. En effet, il a été rapporté que ces engins, d’une conception autre que ce que l’homme fabrique, ionisent leur environnement direct par leur mode de fonctionnement et induisent en certaines circonstances une condensation vaporeuse qui les enrobe totalement, leur donnant alors l’aspect de nuées plus ou moins compactes, soient qu’ils volent en sustentation ou qu’ils se déplacent à des vitesses inouïes.

Selon le même processus ionisant, leur structure devient lumineuse la nuit, s’étendant du rouge sombre à toute la gamme des rouges et des jaunes, y compris le vert et le parme, jusqu’à devenir d’un blanc éblouissant, « glorieux », et leur environnement vaporeux leur donne alors l’aspect de petits nuages lumineux. D’où le terme « Nuée » donné par les anciens pour les désigner.

Ainsi est-il encore écrit dans la Bible :

« L’Éternel allait devant eux, le jour dans une colonne de nuée pour les guider dans leur chemin, et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer, afin qu’ils marchassent jour et nuit. La colonne de nuée ne se retirait point de devant le peuple pendant le jour, ni la colonne de feu pendant la nuit. » (Exode 13:21,22)


Atterrissage au Mont Sinaï

Il est écrit dans la Bible que le troisième mois après leur sortie d’Egypte, les enfants d’Israël arrivèrent au désert du Sinaï. « L’Éternel dit à Moïse : voici, je viendrai vers toi dans une épaisse Nuée, afin que le peuple entende, quand je parlerai, et qu’il ait toujours confiance en toi… Qu’il soit prêt pour le troisième jour, car L’Éternel descendra aux yeux de tout le peuple sur la montagne de Sinaï. » (Exode 19 : 9)

Avant d’atterrir au sommet du Sinaï, Yahwé communiqua également à Moïse des instructions précises afin de protéger la vie et la santé des Hébreux. Ces recommandations visaient à ce que le peuple ne puisse subir l’effet nocif des radiations qui allaient être induites par le système de propulsion de son « Tout Puissant » avant son atterrissage.

« Qu’ils soient prêts pour le troisième jour ; car le troisième jour l’Éternel descendra, aux yeux de tout le peuple, sur la montagne de Sinaï. Tu fixeras au peuple des limites tout à l’entour, et tu diras : Gardez-vous de monter sur la montagne, ou d’en toucher le bord. Quiconque touchera la montagne sera puni de mort. » (Exode 19 : 11, 12)

Et au cas où l’un d’entre eux dérogerait à l’interdiction de dépasser la limite de sécurité fixée, et même pour un animal, il fut décrété par Yahwé de ne pas y toucher (ceci afin d’éviter toute contamination), et de le mettre à mort.

« On ne mettra pas la main sur lui (celui qui se sera trop approché de l’engin), mais on le lapidera, ou on le percera de flèches : animal ou homme, il ne vivra point. » (Exode 19 : 13)

Ce n’est qu’une fois l’atterrissage réalisé, et donc une fois que tout danger serait écarté du fait de la coupure des propulseurs que l’autorisation serait donnée au peuple d’approcher la montagne tout en restant à une certaine distance.

« Quand la trompette sonnera, ils s’avanceront près de la montagne. » (Exode 19 : 13)

« Fais au peuple la défense expresse de se précipiter vers l’Éternel, pour regarder, de peur qu’un grand nombre d’entre eux ne périssent. » (Exode 19 : 21)

Les préliminaires ayant été accomplis, il est écrit qu’un matin, le peuple s’étant assemblé au pied de la montagne, un son puissant retentit à la manière de celui d’une trompe, tandis que l’engin, descendant du ciel, environné de feu et de fumée intense, se posa, en même temps que la montagne fut ébranlée par une vibration due à la puissance de ses propulseurs.

« Le troisième jour au matin, il y eut des tonnerres, des éclairs, et une épaisse nuée sur la montagne ; le son de la trompette retentit fortement ; et tout le peuple qui était dans le camp fut saisi d’épouvante. Moïse fit sortir le peuple du camp, à la rencontre de Dieu ; et ils se placèrent au bas de la montagne. La montagne de Sinaï était tout en fumée, parce que l’Éternel y était descendu au milieu du feu ; cette fumée s’élevait comme la fumée d’une fournaise, et toute la montagne tremblait avec violence. Le son de la « trompette » (disons des haut-parleurs) retentissait de plus en plus fortement. Moïse parlait et Yahwé lui répondait à haute voix… » (Exode 19 : 16-20).

De nos jours, lorsqu’une fusée spatiale décolle, la terre tremble de même à la ronde, tandis qu’elle crache du feu et qu’une fumée épaisse se répand tout autour, sortant de ses « narines », c’est-à-dire de ses tuyères.

Cette description a été parfaitement restituée et rendue par le film « Rencontre du 3e Type » de Spielberg : l’arrivée par le ciel d’un immense vaisseau spatial environné de condensation vaporeuse lui donnant un aspect sinistre ; le feu et la fumée émanant de son moyen de propulsion, des éclairs générés par son fonctionnement électromagnétique, le grondement tonitruant de ses propulseurs et l’ébranlement du sol à l’approche immédiate de son atterrissage, un bruit de trompe assourdissant.

Puis, une fois posé, la tonalité de la voix de Yahwé amplifiée par les haut-parleurs fut entendue de tous, à leur stupéfaction apeurée. Rien de miraculeux en tout cela ; simplement le fruit d’une technologie avancée vers laquelle notre science parvient depuis seulement cinquante ans. C’est sans doute de cette description que les auteurs du film évoqué ont puisé l’inspiration de leur scénario si réaliste.

Un peu plus loin (Exode 33.18) Moise demande à Yahvé la possibilité de voir sa « Gloire ».

« Moïse dit : Fais-moi voir ta gloire !

L’Éternel répondit: (…)Tu ne pourras pas voir ma face, car l’homme ne peut me voir et vivre. Voici un lieu près de moi ; tu te tiendras sur le rocher. Quand ma gloire passera, je te mettrai dans un creux du rocher, et je te couvrirai de ma main jusqu’à ce que je sois passé. Et lorsque je retournerai ma main, tu me verras par derrière, mais ma face ne pourra pas être vue.”

Il est clair qu’il est question ici du survol à basse altitude de l’ovni qui présente un danger mortel pour l’homme. C’est un phénomène bien connu là encore dans le milieu ufologique et il est très largement recommandé aux témoins d’ovni de ne jamais s’approcher d’un engin au sol ou volant à basse altitude sous peine de graves séquelles et brûlures.

Après que YAHWE eut dicté à Moïse ses ordonnances et rédigé sa Loi (la Thora) sur deux tables de pierre, après que son « Tout puissant » soit remonté dans la haute atmosphère, il redescendait assez régulièrement parmi les Hébreux dans un engin plus petit qu’ils surnommèrent « Nuée », à cause de la condensation vaporeuse qui se forme très souvent autour de la structure de ces engins.

Ainsi l’on retrouve souvent dans le texte des citations de cette veine :

« Et lorsque Moïse était entré dans la tente (réservée aux conciliabules entre Yahwé et lui), la colonne de nuée descendait et s’arrêtait à l’entrée de la tente, et l’Éternel parlait avec Moïse » (Exode 33 : 9)

« L’Éternel appela Moïse de la tente d’assignation et lui parla. » (Lévitique 1 : 1)

« L’Éternel descendit dans une « Nuée » et se tint auprès de Moïse… » (Exode 34 : 5)


La demeure de Yahvé

De nombreuses citations indiquent que Yahvé vivait dans ses « palais » dans le ciel. Reste à définir quelle était la nature de ses Palais.

« Dieu, dans ses palais, est connu pour une haute retraite » (Psaumes 48 : 4)

Qu’est-ce qu’une « haute retraite » pour des observateurs au sol regardant vers le ciel ? Et quels étaient ces « palais » ? sinon des résidences aériennes, des vaisseaux spatiaux survolant le Sinaï et ses environs ?…

On trouve encore : « Ô Éternel, tu fais du « Très-Haut » ta retraite… » ( Psaumes 91 : 9)

Ici, la preuve est donnée que le dénommé « Très-haut » n’est pas Yahwé, mais son vaisseau spatial amiral qui fut confondu avec lui, comme le cavalier à sa monture, ce que les Incas s’imaginèrent lorsqu’ils virent débarquer les conquistadors espagnols montés sur des chevaux… Au premier abord, ils s’imaginèrent voir des monstres, moitié animaux, moitié humains. Il fut sans doute difficile d’emblée pour des humains vivant en ces époques archaïques de distinguer le cavalier de sa monture et Yahwé de sa machine. Yahwé fut ainsi confondu avec son vaisseau circulant au-dessus des Hébreux…

Les merveilles de Yahvé

« Sais-tu comment Dieu dirige ces merveilles, et fait briller son nuage étincelant ?

Comprends-tu le balancement des nuées, les merveilles de celui dont la science est parfaite? » (Job 37 : 15,16)

Que signifie « faire briller son nuage » qui devient étincelant ? Et qu’est-ce que le « balancement de ses Nuées » ? Sinon qu’il fut là question une fois de plus des ovnis dont le balancement en « feuille morte » est bien connu lorsqu’ils volent au ralenti ou qu’ils descendent.

Des milliers de témoignages d’observations contemporaines de ces engins les ont souvent décrits fonctionnant ainsi, et comme s’ils étaient chromés, « étincelants »… Science extra-terrestre d’autant plus parfaite pour les narrateurs de cette époque qu’ils n’étaient guère évolués scientifiquement…

Sachant que les Hébreux seraient confrontés à d’autres peuplades et peuples puissants qui les traiteraient en ennemis au cours de la pérégrination qu’ils allaient entreprendre sous sa conduite, Yahwé les rassura en ces termes, leur promettant d’intervenir militairement à leur place : « Yahwé combattra pour vous ; et vous, gardez le silence (ne faites rien) … » ( Exode 14 : 14)

« J’enverrai ma « terreur » devant toi, je mettrai en déroute tous les peuples chez lesquels tu arriveras et je les ferais tourner le dos devant toi…J’enverrai les « frelons » devant toi, et ils chasseront loin de toi les Héviens, les Cananéens… » (Exode 23:27,28)

« L’Éternel, ton Dieu, enverra même les « frelons » contre eux, jusqu’à la destruction de ceux qui échapperont et qui se cacheront devant toi. » (Deutéronome 7 : 20-22)

Il est intéressant de noter que Dassault nomma deux hélicoptères de combat « frelon » et « super-frelon »… Il avait forcément compris, ayant lu les écrits de Moïse, que les « frelons » de Yahwé étaient des engins de guerre aériens. Il est bien entendu que les mêmes causes produisent les mêmes effets -en l’occurrence nominative.

La liste des récits relatant les destructions que Yahwé fit du ciel au bénéfice des Hébreux à l’encontre des peuples qui pouvaient s’opposer à eux est impressionnante. Il n’est pas étonnant que, bien plus tard, David écrivit :

« Venez, contemplez les oeuvres de l’Éternel : les ravages qu’il a opérés sur la Terre… C’est lui qui a fait cesser les combats jusqu’au bout de la Terre ; il a brisé les arcs, il a rompu les lances, il a consumé par le feu les chars de guerre… » (Psaumes 46:9)

« Des cieux on combattit, de leurs sentiers les « étoiles » combattirent contre Sisera… »

(Juges 5:20)

A-t-on jamais vu des étoiles combattre et lancer de grosses « pierres » sur des combattants au sol ?… Lorsqu’un ovni de 12 à 20 m de diamètre vole en phase lumineuse à une certaine altitude, il est vu du sol comme une étoile… C’est une telle « étoile » qui guida les Rois mages et les bergers vers Jésus à sa naissance… Il est ridicule et vain pour les astronomes de chercher à faire croire que « l’étoile » évoquée était une comète. L’Evangile dit que cette « étoile » guida ces hommes sur une longue distance, puis s’arrêta finalement, selon le texte de l’Evangile, juste au-dessus du lieu de la naissance de Jésus. La recherche des astronomes est vaine et ridicule par le fait que la Science humaine refuse obstinément d’admettre la réalité des extraterrestres.


Ovnis dans les batailles

Voici maintenant le compte-rendu d’une intervention aérienne de Yahwé impliquant divers types d’engins qui se déroula pour sauver David d’une situation conflictuelle difficile pour lui :

« Dans ma détresse, j’ai invoqué l’Eternel. De son « palais » (aérien), il entendit ma voix. La terre fut ébranlée et trembla (comme le fait une fusée à Cap Kennedy). Il s’élevait de la fumée dans ses « narines » (des deux trous d’échappement du moteur de son engin ?) et du feu dévorant sortait de sa « bouche » (de sa tuyère de propulsion ?) il en jaillissait des charbons embrasés (des scories). Il s’abaissa des cieux, et il descendit : il y avait une épaisse « Nuée » sous ses pieds (son vaisseau aérien) il faisait des ténèbres une tente autour de lui, il était enveloppé d’amas d’eaux et de sombres nuages (autrement dit, son vaisseau était environné de la condensation structurelle se formant autour de l’engin, ce qui avait pour effet de le rendre sombre). Il était monté sur un « chérubin » et il volait.

Les Perses appelaient « Keroubïm » les humanoïdes de petites tailles qu’ils savaient « piloter les chars des dieux ». Dans la suite des temps, ce nom engloba l’engin et son pilote. L’Eglise catholique ne retint que la petite taille des « Keroubïm » et en fit des « angelots » de plâtre qui servirent à enjoliver les églises)….

« De la « Splendeur » qui le précédait s’échappait ses « Nuées » lançant de la grêle et des charbons de feu. »

Cette évocation découla pour les Hébreux de l’inexplicable vision de l’engin sans doute lumineux et coloré qui précédait le vaisseau-mère de Yahwé. Une sorte de porte-avions aérien duquel sortaient les « Nuées » -des ovnis plus petits qui bombardaient les ennemis des Hébreux, « la grêle et des charbons de feu » n’étant rien d’autre que des bombes ou munitions explosives. à noter que ce passage témoigne encore une fois de la confusion qui est faite entre Yahvé et son engin spatial.

« Le « Très-Haut » (l’engin) fit retentir sa « voix » (le grondement de l’un de ses propulseurs) et il lança des flèches (des missiles) et dispersa mes ennemis par le bruit du souffle de ses « narines »… Il étendit d’en haut sa main et il me saisit, et il me délivra de mes adversaires… » (2 Samuel 22: 7-18 / Psaumes 18 : 7-18).

Le récit suivant rend compte d’une autre intervention militaire aérienne de Yahwé, qui eut recours au bombardement contre une coalition armée qui risquait fort de vaincre les Hébreux trop peu nombreux :

« Comme ils fuyaient devant Israël, et qu’ils étaient à la descente de Beth Horon, l’Éternel fit tomber du ciel sur eux de grosses pierres jusqu’à Azéka, et ils périrent ; ceux qui moururent par les pierres de grêle furent plus nombreux que ceux qui furent tués avec l’épée par les enfants d’Israël. »

(Josué 10 : 10; 11).

Bien évidemment, les « pierres » évoquées, selon la conception archaïque qu’en eurent les Hébreux, étaient tout simplement des bombes.

« Les « chars » de l’Eternel se comptent par vingt mille, par milliers et par milliers; Yahwé est au milieu d’eux… » (Psaumes 68:18)

« De ton « sanctuaire » (aérien), ô « dieu », tu es redoutable. » (Psaumes 68:36)

Comme il est donné de le constater, Yahwé disposait d’une flotte aérienne impressionnante. Son appelé « sanctuaire » n’était autre que son vaisseau-amiral d’une puissance aérienne dépeinte comme redoutable.

Tandis que Jésus-Christ effectuait sa mission sur la terre d’Israël, l’Evangile rapporte qu’il fut en contact à plusieurs reprises avec une « Nuée » en sa phase d’extrême luminosité (désignée par « gloire »). Et lorsqu’il s’en alla de la Terre, c’est de même sur une « Nuée » qu’il fut ascensionné par antigravitation et s’en alla vers le cosmos. Et il est écrit qu’il reviendra exactement de la même manière le moment propice venu. Voici les textes :

« Comme Jésus parlait encore, une « Nuée lumineuse » les couvrit (vint se placer au-dessus de Jésus et de ses disciples). Et voici, une voix se fit entendre de la Nuée (par ses occupants). » (Mathieu 17 : 5)

« Une Nuée vint les couvrir (se placer au-dessus d’eux), et il en sortit une voix : Celui-ci est mon Fils Bien-aimé : Ecoutez-le ! Jésus fut transfiguré devant eux, ses vêtements devinrent resplendissants, et d’une telle blancheur… » (Marc 9 : 7)

Ce texte est celui par lequel le Catholicisme romain fonda la « fête de la transfiguration » qu’elle a fait apparaître comme une chose miraculeuse, incompréhensible.

En fait, il s’agissait seulement de l’effet rayonnant de la luminosité très vive, de type magnésium qui brûle, ce qui modifia l’aspect des vêtements de Jésus, et même celui de son visage, comme cela serait pour toute personne éclairée violemment par une extrême luminosité. Il n’y a pas de quoi y voir là un prodige incompréhensible, miraculeux…

« Comme ils parlaient, une Nuée vint les couvrir (se placer au-dessus d’eux) : et les disciples furent saisis de frayeur. Et voici, deux hommes s’entretenaient avec Jésus qui apparaissait dans sa gloire (dans l’intense luminosité qui émanait de l’OVNI ), parlaient de son départ qu’il allait accomplir vers Jérusalem… » (Luc 9:28-35)

Cette narration est la même que celle qui fut rapportée précédemment, mais elle comporte d’autres détails. Là, il est question « d’hommes », c’est-à-dire d’extraterrestres appelés « anges » -messagers, ou dieux- identifiés -à tort- par l’évangile comme étant Moïse et Elie. On notera que ces « Contacts du 3e Type » eurent chaque fois lieu après qu’une « Nuée » lumineuse vint du ciel se placer au-dessus de Jésus et de ses apôtres.)

« Après avoir dit cela, Jésus fut enlevé (et non il s’éleva de lui-même, comme par enchantement) tandis qu’ils regardaient, et une Nuée le déroba à leurs yeux (autrement dit, un ovni, placé au-dessus de Jésus utilisa une technologie inconnue pour l’élever en douceur jusqu’à ce qu’il pénètre à l’intérieur, dès lors invisible à la vue de ses apôtres). Et comme les apôtres avaient leurs regards fixés vers le ciel pendant que Jésus s’en allait, voici, deux hommes vêtus de blanc (deux extraterrestres, ou anges, revêtus sans doute de combinaisons de cosmonautes, à l’image de celles qui vêtent les nôtres) leur apparurent et dirent : Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à regarder vers le ciel ? Ce Jésus qui a été enlevé au ciel du milieu de vous reviendra de la même manière que vous l’avez vu s’en allant… » (Actes 1 : 9-11)

Depuis 1947, de nombreuses observations d’ovni en sustentation à travers le monde ont apporté l’information qu’ils sont munis d’un système qui produit des rayons lumineux anti-gravitationnels qui, focalisés vers une cible, animale ou humaine, la “dégravitent” et la fait s’élever doucement jusqu’à eux. Il ne fait aucun doute que c’est par ce moyen technologique que le vaisseau spatial vint ascensionner Jésus qui partit dans le cosmos vers une destination inconnue.

Et deux d’entre les occupants de cet ovni qui étaient au sol, voire d’un autre qui n’est pas mentionné, eurent pour mission d’atténuer l’effet psychologique éprouvant qui affecta les disciples du Christ par cet enlèvement effarant pour eux à cette époque, comme il devrait l’être de même pour nous qui sommes pourtant habitués aux prouesses technologiques de notre civilisation aérienne. Ils durent être stupéfaits !…

Ces « anges » en profitèrent pour leur affirmer à haute et intelligible voix que Jésus reviendrait sur Terre de la même manière qu’ils le virent y monter, c’est-à-dire sur un vaisseau spatial.


Conclusion

Ainsi s’achève le compte rendu qu’il est possible de faire de la Bible. Comme il est donné de le constater, on est bien loin de ce que les organisations religieuses qui s’en réclament enseignent à leurs centaines de millions de fidèles. Non seulement la Bible regorge de témoignages sur l’existence des vaisseaux aériens des extraterrestres mais bien d’autres récits mythiques des civilisations ancestrales attestent aussi de leur existence et des exactions que leurs occupants commirent à l’encontre des humains. La Bible et les autres mythes démontrent de surcroît que ces véhicules aériens sont utilisés, tant par les « anges » rebelles envers l’Autorité de DIEU que par ceux qui lui sont demeurés attachés.

L’individu intelligent et de bonne foi, lisant ces citations, possède désormais les éléments lui permettant de découvrir la réalité que l’Ancien et le Nouveau Testament expriment. Une telle prise de conscience, généralisée à tous les peuples, renforcerait peut-être le ridicule, l’inutilité et l’horreur des exactions, des guerres, des crimes et des massacres abominables qui se commettent encore de nos jours au nom de « Dieu », et permettrait peut-être du même coup d’apporter la paix et la solidarité entre les hommes.

Michel Girard

 

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