La clavicule des Nephilim

La clavicule des Nephilim

Dans la seconde partie de notre étude sur les raisons de l’arrêt brutal de la “conquête” spatiale, nous en étions arrivés à la conclusion que la Lune avait été interdite aux humains pour au moins deux raisons. Primo : elle possède une réserve suffisante de cet hélium 3 capable d’offrir aux autochtones la clé de la fusion nucléaire contrôlée, fournissant une énergie propre, quasiment gratuite et illimitée (celle que Prométhée avait volée au Soleil et ramenée dans une férule aux humains de l’époque. Nous ne saurons jamais exactement dans quel but, mais nous savons ce que cela lui en a coûté). Secundo : elle est manifestement déjà occupée par des “Entités” dont les préoccupations essentielles ne semblent pas a priori axées sur ce genre de projet… 

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> Retrouvez cet article dans le TOP SECRET N°46

Dès lors, une question se pose : si ce n’est pas seulement pour empêcher les humains d’y puiser les possibilités d’acquérir cet indispensable hélium 3 que la Lune leur a été interdite, en quoi pourrait donc consister l’autre raison ? C’est ce que nous allons tâcher de découvrir maintenant, parce qu’il n’est rien de caché qui ne sera révélé, et que les textes sont semblables à Janus, ce dieu aux deux visages dont l’un regarde le passé et l’autre l’avenir : la tradition que nous avons trop longtemps contemplée, et la modernité dans les traits de laquelle une fantastique révélation est en train d’apparaître. Mais ce texte ne s’adresse qu’aux esprits libres et je demande à ceux qui possèdent au fond d’eux-mêmes une valeur sacrée au-delà de laquelle ils ne pourraient aller, d’arrêter ici leur lecture, car il est bien connu que la sagesse des dieux ne s’adresse qu’à la folie des hommes. Ce préalable posé, nous allons revenir à cette Tradition millénaire par laquelle le scandale est en train d’arriver, en nous penchant sur les plus étranges objets qui soient descendus sur terre à l’époque de Moïse : les tables de la Loi, contenues dans le coffre de l’Alliance…


L’Arche d’alliance

Sans doute tout a-t-il été dit sur l’Arche d’alliance, plus d’ailleurs sur son hypothétique destinée moderne que sur sa véritable fonction qui outrepasse tout ce que les Anciens et sans doute les Modernes pouvaient imaginer…

S’il existe une croyance tenace, c’est bien celle que l’on puisse retrouver un jour les vestiges du coffre de bois d’acacia blindé d’or construit au désert par les Hébreux et contenant toujours les énigmatiques tables de la Loi… Des Macchabées aux Templiers, en passant par l’Ethiopie et l’Egypte, beaucoup de légendes, en effet, courent à ce sujet. Mais qui connaît le destin le plus probable de l’Arche d’alliance, et surtout à quoi était-elle réellement destinée?

Pensant pouvoir apporter quelques précisions à ce sujet, je voudrais d’abord souligner que nous ne pouvons pas dissocier le sort de l’Arche d’alliance de celui des deux autres éléments indispensables qui lui sont associés :

Primo : la Demeure itinérante et son mobilier, construits pour l’abriter et la faire fonctionner durant les presque 40 années au désert sous la juridiction de Moïse, un authentique “Homme du Nom”, comme nous allons le voir. J’entends par “Homme du nom” un être directement lié par filiation aux Elohim.

Secundo : le Temple de Salomon afin d’éteindre définitivement son énergie résiduelle et de la faire “disparaître”, après qu’elle fut devenue inutile et surtout dangereuse parce que très âgée, brinquebalante, mais toujours très active. Il faut bien comprendre que tous ces éléments ne relèvent pas du religieux mais bien des techno- sciences et qu’ils obéissent donc à des lois physiques rigoureuses dont nous ne pouvons encore que subodorer l’absolue nécessité, particulièrement en ce qui concerne les sacrifices et holocaustes de centaines de milliers d’animaux réputés purs. Ces sacrifices devaient avoir lieu pour le rachat du peuple -mais peut-être pas seulement- en présence de ce feu dévorant que représente le “Nom” d’Elohim installé parmi eux.

Souvenons-nous au passage que selon la Genèse-6.4, “Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu’elles leur eurent donné des enfants : ce sont ces héros qui furent fameux dans l’antiquité”. Ainsi les “hommes du Nom” sont les héros de la pérennité… Et de quelle pérennité s’agit-il, si ce n’est justement celle du “Nom”, objet de cette étude ?

L’Arche contraignit Elohim à former une caste de spécialistes capables de manipuler ce matériel et de le mettre en œuvre, sans trop de danger pour eux-mêmes, à condition de respecter scrupuleusement les consignes prescrites pour ne pas être immédiatement foudroyés par ce feu dévorant.

C’est cet aspect des choses qui va nous permettre d’aborder la question par son côté technique bien plus que religieux…

Bien qu’essentiellement verbales, cette “notice d’emploi” et ces “consignes de sécurité” furent si scrupuleusement respectées par les desservants, qu’ils les considérèrent comme étant la parole d’un Elohim irascible et jaloux et qu’elles devinrent un acte cérémoniel confinant à la religiosité…

La ruse suprême du diable n’est pas de nous faire croire qu’il n’existe pas, mais bien de nous avoir laissé benoîtement croire en Dieu…

Comment, en effet, les hommes de ce temps pouvaient-ils comprendre qu’ils n’avaient pas affaire à une puissance relevant de la volonté arbitraire d’un Elohim évanescent et fantasque, mais à un système complexe ne relevant que d’inflexibles lois physiques, mises en œuvre par des techno sciences et pouvant se déchaîner contre eux à la moindre maladresse ?

Mais il faut bien comprendre que de leur côté, les Elohim durent faire appel à des moyens rudimentaires, simples et efficaces, capables d’être réalisés par des hommes de ce temps, avec les matériaux et les outils disponibles, selon les plans fixés et les maquettes montrés sur l’Horeb à Moïse et réalisés pour lui à cet effet.

Bien sûr, il leur fallait apporter ce qui fut à la fois le cœur et le centre nerveux contenu dans ce coffre, qu’ils confièrent à Moïse sous l’appellation : “tables de la Loi”, écrites des deux côtés par Elohim lui-même et contenant surtout une inépuisable réserve d’énergie sous un faible volume et un poids relativement peu élevé, mais sans doute aussi autre chose de beaucoup plus subtil…

D’emblée, quatre questions se posent :

Primo : à quelle absolue nécessité correspondait pour Elohim la mise en œuvre d’un système aussi dangereux, si on ne prend pas au sérieux le fait qu’il n’avait d’abord pour but que de capter et récupérer à son profit la vitalité contenue dans le sang et la graisse des animaux purs sacrifiés, soit-disant, pour la sauvegarde du peuple qui le mettait en œuvre… S’il ne s’était agi que de cela, pourquoi le lui avoir confié ?

Secundo : pourquoi deux tables plutôt qu’une seule ? S’agit-il d’une simple redondance ou de fonctions séparées complémentaires travaillant en push pull, c’est-à-dire alternativement émetteur d’énergie électrique pour l’une et récepteur d’énergie vitale pour l’autre ?

Tertio : de quelle sorte d’écriture s’agit-il ? On peut imaginer une fonction passive certes, mais aussi et surtout une fonction active se développant après la mise en œuvre des tables une fois celles-ci mises en place et le coffre déposé dans le “Saint des saints” avec l’absolutoire posé dessus, sachant que le coffre ne fut plus jamais ouvert.

Quarto : de quelle énergie initiale peut-il bien s’agir ? Toutes les hypothèses sont permises et nous ne manquerons pas d’affiner nos déductions au cours de notre étude… Nous savons que ce n’est pas simplement dans l’unique but de parler à Moïse du haut de l’absolutoire (puisqu’ils le font ailleurs et depuis bien longtemps par le biais de la nuée) que les Elohim prirent le risque de déposer de tels objets parmi le peuple ignorant et craintif, mais bien parce que cela leur offrait cette insoupçonnable possibilité : récupérer, absorber et sans doute aussi stocker la vitalité animale s’échappant des gorges ouvertes des animaux purs sacrifiés et dans la fumée des graisses brûlées en holocaustes, d’agréable odeur à YHWH, dont lui-même dit qu’ils sont sa nourriture…

Cette vision des choses ouvre de fantastiques et insoupçonnables perspectives… Qui aurait pu imaginer en effet, à la simple lecture linéaire des textes, que ceux-ci révélaient l’existence d’un ensemble à double flux énergétique couplé, mais de natures très différentes arrivant dans le “Saint des saints”, un peu comme en radio une onde porteuse de fréquence fixe peut être modulée en amplitude ou en fréquence pour délivrer un message audio dans un récepteur…

Qui donc aussi aurait pu imaginer que ces Entités évanescentes ne pouvaient subsister sur terre qu’au prix de la mise à mort d’un “gibier” qu’elles faisaient sacrifier pour l’instant par un autre gibier : l’homme ?

Nous comprendrons alors que la construction et la disposition des constituants de la “Demeure” ne doivent rien au hasard, que les millions de sacrifices ne furent pas inutiles et que chaque détail fut soigneusement étudié en vue d’obtenir en toute sécurité une efficacité maximale…

Sans doute les tables ne furent-elles jamais extraites du coffre. Même si en leur temps, les Philistins durent pour le moins en ôter le couvercle car les effets occasionnés sur leur santé s’apparentent étrangement à ceux produits par des rayonnements ionisants…

La Tradition nous dit que le coffre contenait non pas Elohim lui-même mais son “Nom” ce qui nous oblige raisonnablement à penser que celui-ci est avant tout Energie et qu’éventuellement, il manifeste sa colère (brûlure de sa narine) par sa “Très Haute Tension”. Mais YHWH n’avoue-t-il pas être un feu dévorant ? Nous savons aussi que lorsque Moïse descendit les tables du Sinaï, il les tenait dans ses mains et qu’il avait le visage si lumineux qu’il dut le couvrir d’un voile pour parler à Aaron et aux Anciens.

Il nous est donc loisible de penser que, bien que sans doute posées l’une sur l’autre, celles-ci n’étaient peut-être pas totalement inactives et qu’un rayonnement résiduel s’en échappait, venant se dégrader en lumière sur la peau du visage, peut-être enduit d’une crème protectrice, de celui qui les tenait en mains ?

Nous pouvons estimer qu’elles étaient munies d’un dispositif de sécurité les rendant inoffensives jusqu’à ce qu’elles soient introduites dans le coffre et le propitiatoire refermé sur elles…


La Demeure itinérante et le temple de Salomon

Mais revenons d’abord à ce diptyque que furent, chacun en leur temps, la Demeure itinérante chargée de recevoir l’Arche durant les 40 années de sa période active au désert, et le Temple de Salomon dont le seul but fut de la recevoir durant les 34 années nécessaires pour en épuiser l’énergie résiduelle et la rendre inidentifiable aux yeux des Egyptiens venus piller le Temple…

Cette Demeure itinérante était destinée à recevoir le coffre et de le mettre en sûreté, à l’abri des regards indiscrets, en un lieu isolé où nul, hormis le grand prêtre une fois par jour pour y brûler les parfums et occasionnellement Moïse pour y consulter l’image d’Elohim, ne pouvait pénétrer sans être mis à mort.

L’exemple des imprudents fils aînés d’Aaron en est un parfait témoignage. Nous savons qu’il ne fallut pas moins d’une tonne d’or hermétique pour réaliser l’ensemble du blindage des constituants mobiliers et immobiliers de bois d’acacia, nécessaires à sa réalisation.

Cet or dit hermétique provient de la terre de Havila que contourne le fleuve Pishon, actuel oued Ermek, et dont Moïse, auteur de la Genèse dit : “L’or de cette terre est bien”.

Comprenez bien que cette Demeure hautement technique fut, n’en doutons pas, la première réalisation humaine (mais pas la dernière) construite selon les plans et maquettes d’entités n’appartenant pas à notre règne mais cependant capables de vivre à ses dépens, en symbiose avec lui.

Cette Demeure fut active durant la juridiction de Moïse, “l’homme du Nom”, mais devint inutile le jour où celui-ci “mourut” sur la bouche (l’ordre) d’Elohim, devant Canaan, lorsque Josué prit la relève en faisant passer le Jourdain à l’Arche devant Jéricho.

C’est alors que la manne cessa de tomber, que le peuple put manger les produits du pays et être circoncis sans danger sur la colline des prépuces avant de partir à la conquête du pays. Ces signes démontrent à l’évidence que la garde séraphique ne se trouve plus au voisinage direct de l’Arche qui ne sera plus que très peu déplacée.

Elle fut stationnée dans le haut lieu de Gabaon mais pas seulement. Nous ne suivrons pas ses aventures entre la période de Josué et celle de Salomon et nous en arriverons directement à sa seconde période, celle où elle fut remisée dans le Saint des saints du Temple de Jérusalem où elle finit par disparaître sans que l’on sache comment.


Le Temple de Salomon

Si l’on compte les 480 ans de la sortie d’Egypte à la pose de la première pierre du Temple, les 7 ans de construction du Temple, les 29 ans du règne de Salomon et les 5 du règne de son fils Roboam, cela donne au total 480 + 7 + 29 + 5 = 521 ans, lorsque le pharaon Sésac pille le Temple.

Les tables seraient donc restées 29 + 5 = 34 années enfermées dans le Temple à seule fin de dégrader leur énergie résiduelle en toute sécurité et de s’autodétruire à présent qu’Elohim n’en a plus personnellement besoin et qu’elles constituent une incontestable preuve matérielle de son intervention sur terre dans les affaires des hommes…

Mais n’auraient-elles pas aussi été l’enjeu de spéculations de la part des “Héros” de l’antiquité, seuls capables de les mettre en œuvre durant leurs 40 années d’errance au désert et rêvant peut-être de les utiliser à leurs propres fins pour tâcher, une fois encore, de se faire reconnaître de leurs pères ?


Quelle énergie dans le coffre ?

Le seul élément sur lequel nous ne pouvons que conjecturer est bien sûr la véritable nature des tables censées contenir le “Nom” d’Elohim et c’est par là que nous allons commencer. (Notons que le coffre est le complément indispensable pour convertir l’énigmatique énergie en électricité. Sans lui, les tables, de par leur dangerosité propre, ne pourraient pas être utilisées).

De nos jours, la première idée qui vient à l’esprit est qu’il pourrait s’agir d’un radio élément. Même s’il ne faut pas confondre chaleur et température, nous savons que la dégradation d’un élément radioactif naturel relativement pur ne se fait pas sans un fort dégagement de chaleur. C’est cette propriété, soigneusement contrôlée, qui est utilisée dans tous les réacteurs nucléaires actuellement en service. Mais est-ce bien le cas des mystérieuses tables censées contenir le “Nom” d’Elohim ? Rien n’est moins sûr, même si nous ne pouvons pas ignorer cette possibilité… Une chose est indubitable, avec les tables en son sein, le coffre se comporte en véritable générateur électrostatique et produit des tensions pouvant être estimées en dizaines de kilovolts.

Ezéchiel nous parle d’une mystérieuse énergie appelée feu du ciel ou braises, que l’homme vêtu de lin va chercher à pleines poignées entre les chérubins pour les répandre sur la ville.

L’exemple de Sodome et Gomorrhe nous donne une idée de la puissance de celle-ci, que de nos jours nous pourrions assimiler à de l’antimatière électrostatiquement confinée, à laquelle un système adéquat permettrait de “s’évaporer” sur plusieurs siècles fournissant un flux énergétique continu pour alimenter les tables.

D’autre part, Esaïe (Esaïe 6.6) nous parle aussi d’énergie, mais cette fois, c’est un séraphin qui prend une braise avec des pincettes pour toucher les lèvres du héros afin de les purifier. La question qui se pose ici est : pourquoi le séraphin est-il contraint d’opérer avec des pincettes pour toucher directement les lèvres de l’homme avec la braise purificatrice, une “pierre ardente” ? S’agit-il d’une énergie à laquelle il n’a pas le droit de toucher ?

Nous en reparlerons bientôt en revenant sur la double fonction assurée par le coffre travaillant cette fois en pool avec l’autel de montée d’où émanait la vitalité des animaux sacrifiés… Quoi qu’il en soit, sans ce complément indispensable il est fort probable que, réduites à elles-mêmes, les dangereuses tables n’auraient pas servi à grand-chose d’autre qu’à semer inutilement la mort autour d’elles.

En présence d’une telle énergie, nous comprenons mieux l’importance de la consigne ne tolérant personne au voisinage du coffre et mieux encore la nécessité pour Aaron de ne pas s’attarder lors de son office et surtout de ne pas regarder ce qui se produit sur le propitiatoire lorsqu’il jette sa poignée de parfum sur les braises de sa cassolette préalablement posée sur l’autel adéquat.

N’oublions pas que la “Gloire” d’Elohim (voir TOP SECRET N°29) stationnait au-dessus de la Demeure le jour sous la forme de “nuée” et la nuit sous la forme d’un feu, empêchant par moment quiconque de pénétrer dans la tente.

On peut alors se demander si les radiations émanant du coffre dans la fumée des parfums étaient subordonnées à la fonction journalière d’Aaron ? Commandées selon les besoins du moment ou mises à la masse par la “gloire” remplissant la Demeure lorsque la “nuée” stationnait au-dessus ? Quel était alors le rôle de cette “nuée” ?

Venait-elle faire le “plein” d’énergie, ou au contraire, faciliter l’écoulement d’énergie surnuméraire du coffre en ionisant l’atmosphère afin de le mettre pratiquement en court-circuit par le biais de l’armature de la Demeure, faite de planches blindées d’or posées sur des socles d’argent ?

La réponse dépend du besoin en fonction de la production et nous ne connaissons ni l’un ni l’autre de ces paramètres.


Le mobilier

Chaque jour, ainsi que le précise le texte, le grand prêtre doit baigner son corps, se vêtir de lin, marcher pieds nus et ne pas s’attarder à regarder les choses saintes lors de son office. Attardons-nous un instant sur la “cathode” de cette incroyable réalisation : “L’autel de montée” (sacrifices).

Chacun pourra lire ses dimensions dans n’importe quelle Bible et nous ne nous attarderons pas sur ses paramètres purement géométriques.

Il s’agit d’un lourd bâti de poutres d’acacia soutenant une table ouverte en son milieu, et recouverte d’un blindage de bronze, au centre volumétrique duquel se trouve une grille, un panier, de bronze lui aussi, où se situera le foyer des holocaustes d’où monteront les fumées d’agréable odeur à YHWH.

Mais les offrandes pourront être aussi de pain azyme et d’huile d’olive sur lesquels le sel ne devra jamais manquer.

On retrouve cette exigence de n’avoir affaire qu’à des produits réputés purs, à l’instar des animaux, ruminants à la corne du sabot fendu : ovins, bovins, et caprins dans une moindre mesure. La seule explication possible est que bovins et ovins sont essentiellement herbivores et passifs, alors que les caprins sont par nature capricieux et libertaires. Ce qui est déroutant dans les textes, c’est qu’ils ignorent totalement l’ordre chronologique et qu’il faille aller chercher l’information là où elle se trouve.

Ainsi, ce n’est qu’en Lévitique 9/24 qu’il nous est dit comment le feu initial avait été allumé sur l’autel de montée par la gloire de YHWH à la vue de tout le peuple : Un feu sort en face de YHWH, il mange sur l’autel la montée et les graisses. Tout le peuple voit, ils jubilent et tombent sur leurs faces…

Or, c’est au chapitre 6 du même Lévitique qu’il est dit comment le desservant doit se vêtir et procéder après chaque montée, alors que le feu ne doit plus s’éteindre.

C’est au chapitre 40 de l’Exode que Moïse installe l’autel de montée et tous ses instruments de bronze. Il consacre l’autel et l’autel devient : sacrement des sacrements.

Tout ce qui touche l’autel est ipso facto sacralisé, ce qui suffit à prouver qu’il est au moins aussi important que le coffre dont il constitue la “cathode”, l’émetteur de vie animale… Cet autel de montée, notons ce singulier, se trouve placé à l’ouverture de la tente du rendez-vous. Il est gratifié d’un important accessoire où doivent absolument se baigner les desservants avant et après avoir pratiqué leur office, mais lisons plutôt : “Il fait la vasque en bronze, son support en bronze avec les miroirs des miliciennes qui militaient à l’ouverture de la tente du rendez-vous”.

Chouraqui se perd en conjectures à propos de ces miliciennes, mais nous avons une explication qui est probablement la solution. Plutôt que de penser que ce support puisse avoir été coulé à partir de miroirs appartenant à des femmes, pourquoi ne pas plutôt penser qu’il s’agissait d’accessoires indispensables à la sécurité des prêtres, leur permettant de faire leurs ablutions tout en surveillant ces miliciennes, sans doute attirées vers eux par le sang des sacrifices qui macule leurs membres et leurs vêtements ?

En effet, si le peuple était contraint de se contenter chaque jour de la manne, et de ne manger aucune bête de ses nombreux troupeaux, c’est parce qu’Elohim a déployé sa garde prétorienne pour protéger la Demeure et surtout la mystérieuse alchimie qui s’élabore ici…

Cette garde prétorienne est constituée de séraphins, dont le nom signifie : qui consument, sous-entendu : la vitalité animale.

Ils sont aussi appelés guêpes ou serpents brûlants dans les textes. Souvenons-nous que Moïse en pendit un en effigie au désert et qu’il suffisait au mordu de le regarder pour être guéri… Se pourrait-il qu’il faille un miroir pour les rendre visibles, les regarder sans danger ou les rendre tout simplement inoffensives ? L’effet miroir est souvent utilisé dans les textes anciens, depuis Osiris contemplant par lui les psychostasies égyptiennes, jusqu’à Persée tuant Méduse en ne la regardant que sur le glacé de la lame de son épée afin de ne pas être pétrifié…

Plus près de nous de nombreux films de cinéma donnent une place prépondérante au miroir. Le testament d’Orphée de Cocteau, le film Constantine, où le héros capture un esprit soldat à l’aide d’un miroir qu’il brise aussitôt afin d’empêcher l’entité d’en ressortir et de revenir dans notre monde ; dans de nombreux film comme récemment Mirror, on voit des esprits, fantômes, créatures d’autres monde à travers les miroirs. Parallèlement, Dracula matérialisé dans notre mondes ne se reflète jamais dans les miroirs. Le miroir permet à Néo de passer dans l’autre monde…le monde réel ?… et de sortir de la matrice.

Et l’expression passer de l’autre côté du miroir est connue de tous. Ainsi, il semble que le miroir joue dans notre conception du réel un rôle de frontière entre les mondes et les dimensions.

Comme toutes les choses saintes, l’autel de montée sera porté à bras d’hommes au cours de ses déplacements, et les sacrifices auront toujours lieu sur sa face nord puisque la Demeure est orientée perpendiculairement au champ magnétique terrestre, avec le coffre à l’Ouest et l’autel de montée à l’Est…

Il nous reste à découvrir comment s’effectue ce transfert entre cette cathode chaude sur laquelle brûle en permanence un simple feu de bois et de graisse animale et cette anode électromagnétiquement chargée en permanence elle aussi.

C’est là qu’interviennent la disposition et surtout la constitution de la Demeure.

Vu de dessus, le schéma de la Demeure, semble étrangement reproduire celui de ces anciens tubes électroniques appelés tétrodes… Puisque nous n’avons pas affaire à un tube électronique, comparons plutôt cette fois cette pseudo grille de commande à un gicleur dans le venturi d’un carburateur. N’est-ce pas en vaporisant l’essence dans la dépression du venturi que le mélange détonnant gagne les cylindres où, une fois allumé, il se transformera en puissance mécanique faisant tourner un moteur capable de fournir un travail ?

Mais qui représente le comburant dans le schéma présent, l’énergie vitale des animaux ?

Et surtout en quoi consisterait le carburant d’un tel système de captation et quelle énergie peut justifier un tel nombre de mises à mort ne servant peut-être qu’à amorcer un incroyable processus dont nous commençons tout juste à subodorer l’importance ?

Nous y reviendrons, mais auparavant, nous devons nous poser la question de savoir à quoi correspondent les longs détours qui se chiffrent en dizaines de kilomètres et les durées de stationnement de la Demeure qui vont de quelques jours à plusieurs mois ?

Nous savons en effet que c’est la nuée qui décide des jours où le peuple doit se mettre en marche et de la durée des stationnements. La tente est alors démontée sous la direction des prêtres et l’arche, portée à bras d’hommes et escortée par les séraphins, marche trois jours avant le peuple vers l’endroit choisi par la nuée elle-même.

Ce choix ne relevant pas seulement de la nécessité de trouver de l’eau et des pâturages pour le bétail et, connaissant l’ambiguïté d’Elohim, nous subodorons déjà quelles sont les vraies raisons qui l’expliquent ? Il semble qu’avant de partir, l’Arche ait été complètement déchargée, mise à plat par la nuée elle-même, dont la gloire pénètre la tente.

Mais sans doute y a-t-il une rémanence insidieuse au cours du transport et là, interviennent pour en limiter les effets intempestifs, le tissu de lin posé sur le come et mis en contact avec l’or des barres, les mains et les pieds nus des hommes qui les portent et servent en quelque sorte de paratonnerres ambulants pour ce temple coffre qui, au mépris des hommes, ne respecte que les lois physiques selon lesquelles il fonctionne…

Sans doute parfois certains porteurs ont-ils senti comme une impatience d’Elohim leur chatouiller le corps, s’il advenait que pour une raison quelconque au cours de la marche, le come soit momentanément isolé du sol sec par les pieds calleux des porteurs dont la résistance de la peau peut varier de manière considérable et passer de 5000, lorsqu’elle est humide de transpiration, à 100 000 ohms, lorsqu’elle est déshydratée par la chaleur du désert et qu’elle retrouve soudain une moindre résistance en un lieu plus conducteur ? Ce qui est certain, c’est que si le matériel était porté par des chariots, les choses saintes : l’Arche et les autels, particulièrement ceux des parfums et de montée (sacrifices), devaient obligatoirement être portés à bras d’hommes et cela non plus n’est pas sans nécessité.

En effet, cette fonction de porteurs était réservée à une seule famille des Lévi : celle des Qèat. Elle devait comporter des risques puisque leur durée de service actif était moindre que celle des prêtres s’occupant du cérémonial journalier et que comme eux, ils avaient le corps totalement rasé.

Cela leur évitait de voir leurs cheveux et leur barbe se dresser et grésiller en présence du champ électrique qui environnait l’Arche, mais peut-être aussi de les voir tomber s’ils finissaient par être victimes de rayons ionisant au cours de leur service rapproché de l’Arche.


Un psychopiège mais pas seulement

Nous venons de découvrir la plus incroyable information révélée indirectement par le fonctionnement même des tables de la Loi : celles-ci ne seraient rien d’autre qu’un capteur d’énergie primordiale terrestre, dont la vitalité animale serait le catalyseur et l’énergie électromagnétique, l’indispensable support physique…

Mais nous ne sommes guère plus avancés que si nous venions de découvrir qu’un individu mange et que sa digestion produit des déchets. à l’évidence, elle produit bien autre chose qui justifie qu’il soit nécessaire d’en passer par là… Que se passe-t-il durant ce transit où l’énergie animale ne sert que de catalyseur où se sublime l’énergie primordiale, en éliminant au passage ce substrat d’énergie électrique initiale contrainte à demeurer dans le monde physique qui est le sien ? La première constatation qui s’impose est de savoir que cette métamorphose est parfaitement possible et cette découverte nous contraint à franchir un horizon cosmologique.

Quelqu’un détient et maîtrise les moyens d’y recourir, et certainement pas dans le seul but de nous forcer à nous poser la question de savoir en quoi réside le secret et quel est le moyen d’y parvenir. Il y a forcément quelque chose d’autre à découvrir qui va nous forcer à quitter les sentiers battus et à nous aventurer dans un marécage de spéculations hasardeuses où risquent de s’enliser notre bon sens et notre logique…

Ici encore, la seule piste qui nous permette d’arriver à des résultats honorables est celle des voies étroites offertes par la raison, la physique élémentaire et les techno- sciences…

Pour incroyable que cela paraisse, cela EST : Les Elohim puisent l’énergie dont ils ont besoin sur terre par le biais de l’énergie vitale des animaux, au sein de la terre mère.

De la même manière, pour l’industrie, nous puisons la nôtre dans les énergies fossiles du monde minéral et pour nous-mêmes dans les protéines synthétisées par le travail des autres règnes…

Quelle différence existe-t-il pour eux entre le règne de l’inerte et celui du vivant qui pour nous semblent séparés par d’infranchissables frontières ? Pour nous qui avons les pieds sur terre, il arrive artificiellement que l’un puisse contenir l’autre, mais ils ne seront jamais si totalement imbriqués que nous ne puissions les différencier, il y a d’un côté l’homme, et de l’autre la machine, notre monde est purement matériel où toute union hors norme est jusqu’ici impossible.

Elohim, quant à lui, ne se présente jamais autrement que sous la forme d’une nuée ou d’un feu dévorant, que ce soit au dessus de la tente ou à l’intérieur de celle-ci et nous sommes bien incapables de dire s’il s’agit d’un être vivant ou d’une “machine” intelligente protéiforme…

La seule chose que nous pouvons affirmer, c’est que tous deux se nourrissent de la même énergie et qu’il nous serait bien difficile d’en faire autant…

La seule certitude à laquelle nous soyons parvenus est qu’Elohim est avant tout une omnipotente “énergie” consciente et qu’il lui est sans doute loisible, sous cet aspect de se manifester de manière protéiforme dans notre environnement naturel ?

Mais le plus étrange n’est pas là, car souvenons nous :

– Exode 25/22 : Je t’assigne là, je parle avec toi du haut de l’absolutoire, entre les deux chérubins qui sont sur le coffre du témoignage…

– Exode 33/11 : YHWH Adonaï parle à Moïse face à face comme l’homme parle à son compagnon …

– Exode 33/11 8 à 20 : Il dit : Fais-moi voir ta gloire. Il dit : Moi, je ferai passer tout mon bien sur tes faces, je crie le nom de YHWH en face de toi ; je gracie qui je gracie, je matricie qui je matricie. Il dit: Tu ne pourras pas voir mes faces, non, l’humain ne peut me voir et vivre…

Que conclure de tout ceci, sinon que d’emblée apparaît une sorte de contradiction: Elohim assigne Moïse dans le “Saint des saints” afin de lui parler du haut de l’absolutoire, mais pourquoi, puisqu’il est déjà en train de lui parler face à face, comme à un ami, dans la nuée à l’entrée de la tente d’assignation ?

De plus, nous savons qu’Aaron ne doit pas regarder ce qui se passe sur l’absolutoire à cause de sa dangerosité et nous pouvons douter que Moïse lui-même y soit jamais allé, ce qui semble confirmé par la suite, lorsqu’il demande à voir la gloire et que qu’Elohim refuse, car nul homme ne peut la voir sans mourir…

La gloire constitue bien les faces d’Elohim, mais aussi tout son bien, ce qui signifie qu’il est bien une redoutable “énergie” que nul homme ne peut voir sans mourir, puisqu’en effet, nul ne pouvait entrer dans la Demeure lorsque celle-ci la remplissait…

Ne devons-nous pas en conclure que cette assignation dans le Saint des saints n’était qu’un prétexte justifiant certes sa présence, mais pour un tout autre usage?

Mais la plus étrange révélation n’est pas là. Elle réside dans cette confidence spontanée que Moïse ne demandait même pas et qui se résume en dix paroles que justement les tables sont censées contenir :

“Je gracie qui je gracie, je matricie qui je matricie”.

C’est grâce à cette confidence que nous allons comprendre le bien-fondé de ce que nous avons comparé à la dualité onde/corpuscule de notre réalité lumière.

Elohim avoue spontanément qu’il est capable de gracier celui qu’il a matricé…

Comprenons bien la portée de cette extraordinaire confidence. En fonction de ses besoins, Elohim est capable de matricer, c’est-à-dire de mettre au monde des hypostases de lui-même, capables d’agir dans notre environnement… Mais qu’il est tout aussi capable de les réintégrer dans sa gloire, de les gracier en quelque sorte, aussitôt leur mission accomplie, à condition qu’elles ne se soient pas compromises dans notre monde animal…

Souvenons-nous ici que certains fils d’Elohim sont tombés dans l’animalité en voyant les filles du “glébeux” et qu’ils sont devenus des rampants pour avoir engendré avec elles dans le sang, des fils qui deviennent, à l’instar de Moïse, ces “hommes du Nom”, seuls capables de mettre en œuvre cette clavicule de pérennité, sans laquelle les Nephilim coupés du ciel et exilés sur terre seraient condamnés à mort par consomption… Est-ce la seule concupiscence qui les a motivés ?

Rien n’est moins sûr, car n’est-ce pas plutôt pour réparer cette indispensable “blessure” qu’Elohim s’automutile en les suscitant à seule fin de survivre ? N’est-il pas alors légitime qu’ils aient demandé à Babel d’être reconnus de leurs pères ?

Elohim est donc une matrice, comparable à celle des femmes pour ce qui constitue la mise au monde d’hypostases, mais lui seul est capable de réintégrer en son sein celles qui sont ses Messagers, alors que celles qui sont devenues ses Hommes et dont il a fixé lui-même les jours à 120 ans, suivent le sort du règne animal et sont contraintes de passer par la mort pour être intégrées au sein de la Terre mère.

D’où cette relation constante entre la femme et la mort dans les religions du livre, où elle est souvent comparée à la fosse parce qu’en matriçant elle fait ainsi durer le règne de la mort… Souvenons-nous d’Hénoch, chapitre XVII : “Puis ils m’enlevèrent dans un endroit où il y avait comme un feu dévorant ; et où, selon leur bon plaisir, ils prenaient la forme de l’homme”.

La gloire d’Elohim n’est-elle pas un feu dévorant ? Un feu qui dissipe une part de son énergie en créant ses Hommes et qu’il faut donc compenser, ici au désert, puisque le “Nom” est descendu sur terre et que là est sans doute pour la Demeure, la seule raison d’exister ? Mais que serait-il devenu sans cet “Homme du Nom” qu’est l’énigmatique Moïse, son plus fidèle serviteur ?

Cela précisé, revenons à nos préoccupations antérieures.

Ne perdons pas de vue qu’en Genèse le souffle vital est conféré au vivant par la terre elle-même et que son destin est d’y retourner après la mort pour y trouver le repos… Nous savons que la Nefesh est le souffle vital directement rattaché à la vie physique du monde matériel. Elle donne à l’individu ses sentiments et ses tendances et tout ce qui le met en relation extérieure avec le monde terrestre.

La Nefesh est contenue dans le sang qui est “l’être” de tout individu (Voir TOP SECRET N°6). à la mort de l’animal la Nefesh conserve sa forme initiale.

Elle plane au-dessus du corps dans lequel elle cherche à retourner, produisant ainsi les “douleurs du tombeau”. C’est pourquoi il est nécessaire de tuer l’animal de façon à ce qu’il meure rapidement et sans souffrir inutilement.

C’est pour cette raison que l’égorgement fut choisi. Il est nécessaire aussi de faire disparaître le corps le plus rapidement possible sur l’autel de montée, afin que dans la stupeur de voir son corps physique ainsi torturé et brûlé, la Nefesh affolée s’enfuit alors inconsciemment vers la destinée à laquelle elle croyait échapper, entraînant dans son sillage ces “cellules souches protéiformes, réparatrices et matricielles” issues de la Terre mère vers ce feu dévorant qu’est le Nom de “YHWH-Elohim”…

Mais avant de poursuivre, il convient de nous demander comment la “vie” peut quitter le sein de la Terre mère pour constituer une individualité autre que minérale.

Comment la vie peut-elle devenir une plante capable de puiser ses aliments dans le sol, l’air et la lumière, puis un animal capable d’intérioriser ses fonctions essentielles afin de devenir mobile pour trouver sa nourriture et échapper ainsi à presque tous ses prédateurs…? Mais où s’arrête cette progression ?

La modernité s’évertue à chercher ses origines dans les strates les plus anciennes de notre planète sur le principe de la continuité. Selon elle, c’est l’évolution qui a fait descendre l’homme du singe. Comme dans nos légendes, cela s’est produit un jour, quelque part, en Afrique ou ailleurs… mais cela importe-t-il ?

De son côté, la théogonie d’Hésiode nous dit que ; couverte par Ouranos, Gaïa eut une fille, Rhéa, assimilée à Cybèle qui passe pour la grande Mère des dieux et des hommes, dont la puissance, qui s’étend à la nature entière, est symbolisée par la pierre noire de Pessinonte pour laquelle le Sénat romain fit édifier un temple sur le mont Palatin.

Le premier chapitre de la Genèse, écrite par Moïse, nous dit que le premier couple fut créé par la séparation d’un androgyne en mâle et femelle… Probablement dans le feu dévorant décrit par Hénoch.

Sans doute ne saurons-nous jamais comment apparut sur terre ce trio infernal : Hypothalamus, hypophyse, gonades, qui se trouve à l’origine de ces XX et XY, capables de procréer par le sexe, de se multiplier à l’infini et de peupler ce tertre de la nébulosité qu’est la Terre ? Mais à quoi pouvait bien servir cette pléthorique vitalité livrée à elle-même, si ce n’était de la synthétiser pour le plus grand profit de ceux qui sont incapables de le faire par eux-mêmes ?

Mais peut-être parlerons-nous un jour de ces énigmatiques XO (zéro) qui jouent un rôle très important auprès des animaux que nous sommes ? Après ce long mais indispensable détour, revenons à notre archaïque, mais efficace capteur et convertisseur d’énergie, dont il nous semble avoir découvert les fonctions réelles…

Ne nous vautrons pas à plaisir dans la tautologie et revenons à cet autre aspect bien plus troublant que ce que nous pensions sur sa raison d’être, qui explique les déplacements sinueux de la Demeure durant ses quarante années au désert, mais sans aucun doute aussi la durée aléatoire de ses stationnements, qui pourraient n’être que fonction de l’épuisement des gisements, peut-être auto-obturants, à l’instar du sang se coagulant à l’air libre ?

Nous avons évoqué la présence des séraphins assurant la protection de la Demeure. Nous savons qu’ils se nourrissent aussi de vitalité animale et nous pouvons nous demander si la présence de cet enclos aux dimensions et à la constitution particulières, ne sert pas de corral où ils peuvent se repaître de la vitalité animale “s’évaporant” au passage du sang répandu sur et au pied de l’autel de montée qui, rappelons-le ; n’est pas au pluriel.

Souvenons-nous qu’il est des lieux où “souffle l’esprit” et que ceux-ci n’ont pas manqué d’être repérés par nos Anciens qui ont fini par y implanter, pour y faire leurs sacrifices, d’abord leurs mégalithes, puis leurs temples et enfin leurs églises aux autels non troués puisque par sa rédemption le sacrifice du Christ les rendaient omnipotentes aux yeux des prêtres et de leurs fidèles, pratiquant la communion sous les deux espèces, selon l’ordre de Melchisédech, par le mystère de la transsubstantiation…

Qui peut prétendre que les tertres de la nébulosité ne soient pas des êtres vivants parcourus par ces courants telluriques dont nous ne savons pas ce qu’ils transportent, ni que deviennent leurs effets en ces endroits où ils semblent se coordonner avec les courants cosmiques et sont capables de faire des miracles ?

Est-ce par hasard qu’à la flèche de la cathédrale de Chartres réponde le puits des Saints forts ? Que la nef vouée à la Vierge Marie soit associée à la crypte de Notre Dame de dessous la terre, cette Vierge noire qui a entendu prononcer le nom secret de Rê et sous les voiles de laquelle se cache l’omniprésente Isis ?

Pourquoi dès lors ne pas admettre que l’Arche offrait la capacité d’y accéder au bénéfice d’un Elohim blessé, exilé sur terre par ses pairs selon l’Apocalypse de Jean ? Ici, nous allons nous poser deux questions :

– Primo : se pourrait-il que par sa stérilité apparente, le désert recèle une part de vitalité potentielle, non puisée par les végétaux et donc parfaitement disponible à ceux qui disposeraient de la clé et des moyens de la faire tourner dans la serrure ?

– Secundo : en faisant conquérir Canaan et massacrer tous ses habitants par son peuple, Elohim avait-il découvert que les collines karstiques de Judée étaient non seulement un réservoir d’eau, mais aussi une inépuisable réserve de cette énergie primordiale qu’il envisageait d’exploiter par le biais, non plus d’une Demeure itinérante, mais d’une Demeure d’éternité, sur cet endroit choisi par Satan lui-même et bâtie par Salomon, à Jérusalem ?

Comprenons bien ce que cela signifie. Demandons-nous pourquoi, à l’instar d’Apollo pour les humains, ce projet avorta à peine le Temple réalisé et aussitôt que les tables y furent déposées.

La réponse évidente est : parce que plutôt que de laisser les tables s’étioler à Gabaon, d’autres (les demi-dieux hybrides) avaient envisagé de les réutiliser à leurs fins, afin de pouvoir accéder à ce qui leur a toujours été refusé : se faire un “Nom” qui cette fois leur soit propre, et se faire ainsi reconnaître de leurs pères, les Dieux…

Mais les tables “délitées”, le bois du coffre brûlé, l’or froissé et partiellement fondu rendant le tout inidentifiable, il est illusoire de penser retrouver quoi que ce soit du coffre et de son contenu. Les tables disparues, le Temple n’est plus qu’une coquille vide et n’a plus de raison d’être. Nous pouvons donc raisonnablement penser que le second temple ne sera plus qu’un coffre-fort servant exclusivement à y entasser ces substitutions de la puissance d’Elohim que représentent l’or et les richesses de ce monde. Une nouvelle ère commence …

“à l’intérieur, nulle image de leur dieu, l’endroit est vide et le secret n’est rien”, dira le grand Pompée en sortant du second temple qu’il a visité à cheval.

“Vous avez fait de la maison de mon Père une caverne de voleurs”, dira plus tard Jésus. “Le premier qui dit la vérité… il doit être exécuté”, dit la chanson…

Mais si les déserts sur terre sont la marque évidente de l’inexploitation de la vitalité de leur sol, quid alors de ces astres que l’on prétend morts et qui recèleraient en leur sein une inépuisable réserve de cette incroyable énergie tellurique et primordiale ? Sauf peut-être en ce qui concerne Vénus. Peut-être aurons-nous l’occasion d’en reparler ?

La boucle étant bouclée, nous voici revenus à cet incompréhensible arrêt de la conquête spatiale. Nous pouvons aussi nous poser la question de savoir si le flou artistique des photos modernes n’a pas pour seul but de nous cacher la présence de ces “arbres de Noël” installés in situ et qui bien sûr, n’ont aucune ressemblance avec ce que fut le Temple de Salomon, la plus extraordinaire construction de l’Antiquité, mais sembleraient plutôt être des dômes ou rochers à structures remarquables, figurant ici et là, sur la Lune ou sur Mars et même un de ses satellites, d’après les quelques photos ayant échappé à la censure…


Conclusion

Aujourd’hui, un nouveau peuple est mis à contribution par les Elohim, avec des moyens ultramodernes.

Nous pouvons sérieusement nous demander si le sang de nombreux disparus ne s’est pas mêlé à la poussière sélène pour la faire fructifier sous la direction d’autres “Hommes du Nom”. Cette fois ce n’est certainement plus pour guérir la blessure d’un Elohim, mais peut-être simplement pour le ramener à la maison, comme le prétend pompeusement l’Air Force Space Command dont il nous faudra forcément un jour parler du blason ?

Pour en finir avec l’Arche d’alliance, souvenons-nous que sa translation dans le Temple nécessita la mise à mort de 22 000 bœufs et 120 000 moutons. Que dès que le coffre fut installé en son lieu sous les ailes dorées des chérubins géants, les prêtres n’eurent que le temps de fuir, sans même avoir le temps de faire leur office ni de fermer la porte du Saint, la gloire d’Elohim remplissant tout l’espace. N’est-ce pas suffisant pour penser que cette gloire venait du coffre où elle s’est formée aussitôt qu’elle eut trouvé les conditions requises ?

Ce qui nous fait penser à une exploitation quasi industrielle de vitalité primordiale par le Temple à Jérusalem, c’est l’importance de deux colonnes de bronze creuses et profondément enterrées, appelées Yakin et Boaz : “Il est stable, dans la force…”

Pour une éternité qui ne dura que 34 années, avant que le Temple soit pillé par les Egyptiens, qu’Israël fasse sécession et disparaisse de l’Histoire sous les coups des Assyriens. Trente-quatre années, avant que le Temple ne soit détruit, Jérusalem prise et le peuple déporté à Babylone, et que les morceaux des colonnes de bronze soient emportés là-bas…

Mais de quoi se mêlent donc ici ces grands empires, et qui donc leur inspire cette manière d’agir ? Notre vision des choses n’expliquerait-elle pas la lutte permanente du bien et du mal, selon le camp dans lequel on se trouve, celle des fils de la lumière contre les fils des ténèbres, si chère aux Esséniens ? Ces deux barres, symboles de puissance qui figuraient sur le dollar, dont il ne reste qu’une seule aujourd’hui, n’ont-elles pas été abattues récemment dans le W.T.C, alors qu’on parle déjà de n’en reconstruire qu’une seule ?

Cela ne présage-t-il pas pour la planète, dans les années à venir, une épreuve semblable, sinon pire, que celle subie en son temps par l’Egypte ? Mais nous ne devons pas oublier que les Nephilim sont sur terre en ces jours et même après. C’est-à-dire encore aujourd’hui, et que leurs fils sont les Héros (demi-dieu hybrides) de la pérennité, les “Hommes du Nom”.

Nous savons que ces “Hommes du Nom” sont aussi appelés “Inspirés” dans les textes et que ce qualificatif signifie Prophète (Celui qui voit avant), dont Moïse fut sans doute le plus grand.

Ils ont eux-mêmes des fils, gardiens et serviteurs des invisibles Louz, dont il nous faudra bien aussi parler un jour… Comment s’étonner que les insignes des missions Apollo aient pu être dessinés avant l’accomplissement de chacune d’entre elles et qu’elles se soient terminées par une très ferme fin de non-recevoir ?

Mais au fait, pourquoi donc Moïse est-il toujours représenté, non seulement barbu et chevelu, mais aussi parfois avec des cornes ? Alors qu’il devait, en puissant prince égyptien qu’il était et en raison de ses fréquentations, avoir nécessairement le visage glabre et le crâne rasé…

Que chacun y réfléchisse, nous en reparlerons peut-être un jour, mais en attendant :

“Memento, homo, quia pulvis es et in pulverem reverteris” (souviens-toi que tu es poussière et que poussière tu retourneras).

Anonyme

 

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